Il sera défini lors de la conclusion du contrat qui aura le rôle de « Commercial Contact » (normalement le titulaire du contrat) et celui de « Technical Contact » (si un interlocuteur qualifié est également disponible).
Il n’existe qu’une différence entre ces deux rôles : le « Commercial Contact » a accès aux données de facturation (autorisation « Invoicing&Billing »). Le « Technical Contact » ne dispose pas de l’autorisation permettant de voir les données de facturation pour des questions de sécurité de données.

Les deux contacts disposent automatiquement des droits d’administrateurs (autorisation « portail-admin »). En tant qu’administrateur, il est possible de donner accès à mybusiness à d’autres personnes et de définir les autorisations pour cet accès. Un administrateur ne peut distribuer que les autorisations qu’il possède lui-même. Par exemple, le « Technical Contact » ne peut pas donner l’autorisation « Invoicing&Billing » (permettant de consulter les factures), car il ne dispose pas lui-même de cette autorisation. Un administrateur peut nommer d’autres administrateurs (en donnant l’autorisation « portal-admin »).

Liste des autorisations les plus importantes :

• - « portal-admin »: cette autorisation permet d’ajouter de nouveaux utilisateurs de votre entreprise et de distribuer des autorisations. Si vous donnez l’autorisation « portal-admin », l’utilisateur deviendra automatiquement un administrateur mybusiness.

• - « portal-superuser » : vous pouvez créer des Trouble Tickets et modifier vos coordonnées.

• - « Invoicing&Billing » : ces autorisations donnent accès aux archives de factures et permettent la modification des paramètres de facturation (factures par e-mail).

• - « SLA-V2 » : vous pouvez consulter les rapports SLA et avoir un aperçu des pannes qui ont eu lieu et des Trouble Tickets créés.

• - « Monitoring » : cette autorisation vous permet de voir un rapport de performances des appareils installés avec Internet Traffic, comme les modems, par exemple (seulement pour les solutions individuelles, pas de produits standard).

• - « Business Voice Virtual PBX » : il s’agit ici d’un exemple pour une autorisation dont on ne dispose que si un produit ou service spécifique a été activé.